Comme pour mon année de Master 1 Sciences
de l’Information et de la Communication à Paris III, j’ai dû réaliser un
Mémoire. Cette situation est clairement un avantage, car le fait d’en avoir déjà un à son actif fait réaliser l’ampleur des
tâches à accomplir. En outre, les automatismes pour se mettre au travail
sont plus instinctifs.
Le second avantage que je peux noter à
propos de ce Mémoire concerne ma directrice : Madame Corroy. Cette
dernière se souvenait de moi depuis que je l’avais rencontré lors de sa matière
« L’actualité et les médias dans l’éducation ». Je reconnais avoir eu beaucoup de chance d’être sous sa direction,
puisqu’elle a assuré un encadrement irréprochable dans mon travail. Par
exemple, c’est elle qui m’a remis la bibliographie en main propre. De même que
j’ai eu la possibilité de la rencontrer de nombreuses fois pour recadrer mon
sujet et être guidé rigoureusement.
Dans un contexte de travail aussi
favorable, la rédaction de mon Mémoire
s’est terminée la première semaine d’avril. Elle avait commencé lors des
vacances de Noël en 2015. Les lectures s’étaient réparties sur deux mois entre
octobre et novembre. Quant aux entretiens, ils ont été effectués de novembre à
décembre.
Mais si mon Mémoire s’est si bien passé,
c’est également grâce au choix de mon sujet. En effet, j’étais très curieux
d’aborder un thème des Sciences de l’Information et de la Communication trop
peu exploré encore : l’éducation
aux médias. De plus, comme mon cas d’études portait sur L’Etudiant Autonome, mon intérêt était
décuplé. Je peux même affirmer que mon travail m’a fait redécouvrir ce média
étudiant, et m’a apporté un nouveau
regard sur mon rôle de rédacteur dans cette association.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire