mardi 24 novembre 2015

Enseignement du Master AIGEME : Evaluation des contenus et projets IEM (C9IEM3)

Cette matière était particulière à mes yeux, car elle m’a permis une immersion dans le domaine de l’éducation aux médias en me replongeant dans des cours de Sociologie vus durant mon cursus universitaire à Paris III, mais également par rapport à ce qu’elle m’a appris en plus. Ici, je pense notamment aux documents mis en ligne sur i-Sorbonne qui présentaient le CLEMI. En effet, je n’avais qu’une connaissance très vague de cette structure, et j’ai beaucoup apprécié lire son historique et son impact contemporain dans notre société. Cela m’a donné envie d’en connaître davantage sur l’éducation aux médias.  

L’une des difficultés de cette matière est qu’elle réclamait 3 devoirs à rendre. Le premier portait sur un travail de synthèse et de réflexion sur l’ouvrage Socialisation des jeunes et éducations aux médias de Divina Frau-Meigs. Les deux autres devoirs demandaient un travail de dissertation sur les enjeux de l’éducation aux médias.


Néanmoins, cette difficulté était atténuée par le fait que chacun de ces trois devoirs exigeaient un nombre de signes définis, et surtout peu élevés. J’avoue ne pas avoir rencontré de problème pour rendre ces exercices, car ils ressemblaient pour beaucoup à ce que j’avais déjà reffectué dans une moindre mesure lors de mon cursus universitaire. 

mardi 17 novembre 2015

Enseignement du Master AIGEME : Représentations médiatiques (C9IE13)

Durant mes choix dans les cours de spécialisation du parcours IEM, j’avais été attiré déjà par l’intitulé de cette matière. En effet, les représentations médiatiques sont une composante que j’ai étudié de nombreuses fois dans le cadre de mes études à Paris III. D’autre part, cette discipline m’a permis de retrouver une ancienne professeure que j’ai eu en Master 1 Sciences de l’Information et de la Communication : Madame Corroy. Je l’ai eu en effet pour sa matière « L’actualité et les médias dans l’éducation ». C’est d’ailleurs cette enseignante qui m’a donné le goût de l’éducation aux médias, puisque je ne connaissais pas ce champ de connaissances auparavant. Plus intéressant encore : c’est grâce à Madame Corroy que je suis dans le Master AIGEME aujourd’hui, car c’est suite à sa rencontre que j’ai fait des recherches sur un Master 2 orienté vers l’éducation aux médias, et que je suis tombé ensuite sur celui-ci.

En ce qui concerne le contenu de la matière Représentations médiatiques, je n’ai pas eu de difficulté particulière. Madame Corroy avait mis à disposition des étudiants plusieurs documents à lire sur i-Sorbonne. Afin de faciliter notre travail, le mieux était de prendre note de nos lectures au fur et à mesure que nous les faisions.


J’ai aimé apprendre les différents outils d’analyse pour décrypter avec minutie les contenus médiatiques. Les deux devoirs demandés étaient consacrés à deux évènements de grande ampleur que nous devions analysés : le premier à 8000 signes, et le second à 10 000. J’avais pris pour sujet la victoire de Nicolas Sarkozy lors des primaires de l’UMP en 2014. Mon second sujet était dédié aux attentats de Charlie Hebdo. Chacun de ces deux devoirs s’est bien passé. 

mardi 10 novembre 2015

Enseignement du Master AIGEME : Production (C9IE11)

Cette discipline était particulière dans la mesure où je connaissais déjà Monsieur Rebillard, puisque je l’avais déjà eu en Cours Magistral lors de mon Master 1 Sciences de l’Information et de la Communication à Paris III. Plus intéressant encore : le contenu de l’enseignement reçu dans cette discipline faisait directement écho avec ce que j’avais appris avec Monsieur Rebillard l’année précédente.

Cette matière nous demandait de choisir un groupe de production de l’information, et d’en faire un compte rendu détaillé selon une grille d’analyse remise aux étudiants. Ma préférence s’est portée sur le groupe Canal+, et les deux antennes étaient focalisées sur i-télé et D8. Ce choix s’explique de la manière suivante : comme mon contrat d’apprentissage concernait le milieu de l’audiovisuel, j’ai trouvé judicieux de travailler dessus. En outre, j’ai déjà pu avoir une approche concrète du groupe Canal+ dans le cadre de mon alternance, puisque j’ai déjà été assistant d’émission sur des studios appartenant au groupe (La Nouvelle Edition, Canal Football Club, Le Grand Journal…).


La deuxième phase de l’évaluation de la matière Production était dédiée à une évaluation en ligne. J’ai trouvé ce moment très particulier dans la mesure où c’était la première fois que je passais un examen de la sorte, et que je ne m’attendais pas à ce que ce soit le cas un nour, y compris dans le cadre de ce Master. Un autre élément intéressant est à souligner : c’était le seul devoir dit « traditionnel » que j’ai passé, car les autres matières demandaient des projets à rendre seul ou groupe. Cette évaluation en ligne s’est bien passée, et reste pour moi une belle expérience. 

mardi 3 novembre 2015

Qu’est-ce qu’un e-portfolio ? (partie 2)

Le précédent article mettait en avant ma vision du e-portfolio il y a un an, à savoir au début du Master AIGEME. Cette fois, je vais m’interroger sur ma perception du e-portfolio aujourd’hui.

Quel est mon avis sur le e-portfolio ?

D’après moi, le e-portfolio est à l’heure actuelle sous-exploitée. En effet, on remarque que d’autres « CV numériques » on largement devancé le e-portfolio à l’instar de Linkedin, Viadeo, DoYouBuzz ou même Twitter.
L’année dernière j’avais vanté les mérites du e-portfolio en pointant du doigt le côté novateur qu’il apportait, mais aujourd’hui je dois reconnaître qu’il n’est que trop peu exposé. Toutefois, toujours d’un point de vue professionnel, je pense encore aujourd’hui que le e-portfolio sert vraiment de « complément » aux autres plateformes sociales que j’ai évoqué précédemment.

Quel lien existe-t-il entre les utilisateurs du e-portfolio ?

Il y a un an, je m’étais intéressé aux relations qu’il pouvait avoir entre les membres du e-portfolio. J’avais avancé l’idée que le e-portfolio était l’outil primordial pour permettre aux étudiants d’échanger entre eux. Aujourd’hui, j’ai une vision différente des choses : je pense au contraire que le e-portfolio serait relégué au second plan. La raison en revient aux multiples plateformes sociales qui occupent déjà cette fonction, à commencer par facebook. De plus, d’autres moyens de communication à distance plus classiques permettant déjà d’atteindre cet objectif, à l’instar des mails, ou de google drive.

Néanmoins, j’estime encore à l’heure actuelle que le e-portfolio est le meilleurs réseau social permettant de rencontrer virtuellement des gens qui s’intéressent justement au e-portfolio (et qui partagent par conséquent une passion commune).