samedi 30 avril 2016

Community Manager : le métier que je souhaiterais exercer

Comme de nombreux étudiants, je me suis beaucoup cherché sur ce que je souhaitais vraiment faire dans la vie professionnelle. Si j’ai pendant longtemps souhaité devenir journaliste, mon choix s’est finalement porté sur celui de community manager. Cette décision a été progressive, puisque j’ai été initié aux réseaux sociaux progressivement : d’abord dans le cadre du blog culinaire LaVisiteCritique. Par la suite, mes compétences ont été développées lors d’ateliers d’initiation organisés par le président de L’Etudiant Autonome.  Enfin, mon alternance à Casting-Events pour le rôle de community manager m’a définitivement convaincu dans mon choix.

Actuellement, je suis le community manager d’ALMOHA, une ONG de solidarité internationale qui milite contre les maladies rares en France et à l’étranger. Le 09 mai prochain sera lancé une mission de sauvetage au Cameroun. Si je n’avais pas eu mes obligations actuelles, j’aurai rejoint leur équipe sur place pour entamer cette aventure.

Je suis très content de participer au développement de cette association, car je continus à y développer mes compétences professionnelles, et à avancer aussi sur le plan humain.


Les particularités du métier de community manager sont multiples : son existence récente (à peine dix ans) d’une part. En effet, il est à rappeler que Twitter a fêté sa dixième année en mars 2016 et que Facebook a été lancé seulement en 2003. Compte tenu de sa jeunesse, le community management est en perpétuelle évolution, et demande donc de s’y intéresser régulièrement pour être informé des nouveautés.

D’autre part, l’un des avantages de community management est son essor actuel. Il figure donc parmi les métiers qui recrutent le plus dans la communication. Cet article dresse la liste des professions qui ne connaissent pas la crise dans le digitale, et on peut remarquer que le poste de community manager se hisse en haut de peloton :  https://www.linkedin.com/pulse/vingt-m%C3%A9tiers-qui-ne-connaissent-pas-la-crise-faouzia-messaoudi?trk=hp-feed-article-title-share

Néanmoins, la profession de community manager reste encore difficile à déterminer. On le constate lorsqu’on demande de le présenter d’une entreprise à une autre. Chaque organisme à son propre avis sur le sujet, ce qui démontre une fois encore les possibilités d’évolution du community management dans l’avenir. 

mercredi 20 avril 2016

Rencontre avec Marie Camier-Théron, ancienne étudiante du Master AIGEME

Le vendredi 11 mars 2016, je me suis rendu à Animafac pour y faire l’interview de Marie Camier-Théron. Cette dernière avait une actualité particulière dans la mesure où la deuxième version de son site MediaEducation.fr était en ligne. Cet évènement avait attiré mon attention depuis plusieurs mois par rapport au fait que je m’intéresse à l’actualité dédiée à l’éducation aux médias. De plus, comme il s’agit d’une ancienne étudiante du Master AIGEME (première promotion), ma curiosité s’en est retrouvée renforcée.

Marie Camier-Théron m’a ainsi présenté le projet de MediaEducation.fr et son parcours universitaire et professionnel. J’ai ainsi appris qu’elle avait eu elle aussi Madame Corroy comme directrice de Mémoire, et que son sujet portait sur la place des jeunes et leur investissement sur la scène politique. Cet échange m’a permis de réaliser à quel point l’éducation est aux médias est plus que jamais une priorité dans le domaine des Sciences de l’Information et de la Communication.

J’ai apprécié de faire cette rencontre qui m’a permis d’apprendre de nouvelles connaissances en matière d’éducation aux médias, et de porter un nouveau regard sur ce domaine.


Pour découvrir mon interview de Marie Camier-Théron sur Clic-Clac Media, cliquez ici http://bit.ly/1qZ6Vv5 

dimanche 10 avril 2016

Stop aux clichés : l’association qui milite en faveur de l’Education aux médias

Lancée en octobre 2006 lors du 7ème Congrès national des conseils d’enfants et de jeunes par le Comité jeunes de l’Anacej, Stop aux clichés est porté par cinq partenaires : l'Anacej, Animafac, le collectif Arrêtez de nous mettre dans vos cases !Jets d'encre et le Réseau national des Juniors Associations. Leur but est de changer le regard porté sur les jeunes en luttant contre les clichés et en dialoguant avec des journalistes.


C’est dans le cadre de mon Mémoire que j’ai pris connaissance de Stop aux clichés. En effet, lorsque j’ai répertorié des organismes qui militent en faveur de l’Education aux médias, je suis tombé sur celui-ci qui m’a beaucoup intéressé. La raison n’en revient pas seulement au sujet de mon Mémoire qui concerne en partie l’image des jeunes véhiculées dans les médias, puisque j’ai trouvé novateur de permettre à des jeunes de remettre un prix à des journalistes professionnels dans le cadre du concours « Prix Stop aux clichés ». C’est ce qui s’est passé par exemple l’année dernière la dernière cérémonie à la Sorbonne Nouvelle. Farida Taher, journaliste à France Culture, et lauréate 2014 était la marraine du prix en 2015. Au terme de ce rendez-vous, Sylvia Zappi du Monde, Sandy Dauphin de France Inter, Jean-François Gérard du HuffingtonPost, Elliot Lepers et Simon Bouisson se se sont vu remettre par les jeunes jurés leur distinction.

Le soir même de la cérémonie, cinq membres du collectif ont lancé un appel pour dénoncer les clichés sur les jeunes, sur le plateau du Petit journal de Canal +.

Cliquez ici pour voir la vidéo : http://bit.ly/20WV9xE

Ainsi, Stop aux clichés rentre directement en lien avec certaines matières vues au parcours IEM du Master AIGEME, car on nous amène à nous interroger sur les représentations médiatiques en générale, et plus particulièrement sur les jeunes.